Mazères le samedi 15 mars 2014

La Génération Mouvement ou Club des Ainés de Mazères, présidé par leur dynamique Président, Monsieur Massip et de sa compagne, Lucette, recevait ce samedi 15 mars Michel ETCHEVERRY et son orchestre. Près de 200 personnes ont vibré aux diverses interprétations du célèbre ténor : chants basques, du rugby, de nouvelles mélodies, mais toujours des  chansons à texte   si  merveilleusement interprétées avec sincérité et passion. Comment rester insensible à « la vie » ou à la nouvelle chanson de sa vidéo «Pyrénées si Belles»( a voir et à revoir dans l’onglet « vidéos »). Les participants, debout, en redemandaient encore et toujours : preuve, une nouvelle fois de la reconnaissance et de l’admiration du public face au talent et à la simplicité de Michel.

commentaire: Paulette              photos : Bernard et Jacques                 montage/son : jcm

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                                                                               15 mars 2014 2-SD (480p)

 

Quand il vient en Ariège; quelle que soit la configuration, Michel ne donne pas l’ impression de jouer à l’ extérieur. Ce fut encore flagrant ce samedi à Mazères, où il animait le repas de Génération Mouvement, quelle superbe définition pour parler du Club des Ainés.
Un cadre rêvé, une décoration soignée, le président Pierrre Massip, semblait marcher sur l’ eau. Louis Marette, le premier magistrat , ne cherchait pas à cacher sa complicité avec l’ artiste.
Quelques paroles de bienvenue, un kir pris à la sauvette, le spectacle, non le rendez-vous de l’ amitié pouvait commencer.
Les artistes ont cette faculté d’ oublier, le temps de quelques notes, les petites contrariétés…les « emm… » comme dirait Aznavour…En ce samedi ensoleillé, Michel en sera l’ exemple vivant.
11 h30 : »C’ est une catastrophe. La sono est vaseuse…mes molaires douloureuses…le visage déformé. »
Quelques bises et accolades plus tard, tout était oublié…
La fête pouvait commencer…Accompagné de Jean, Raymond et Jean- Philippe,  le pseudo « éclopé »  sortit le grand jeu.
De Luis Mariano à Edmond Duplan, du « Refuge », interprété en duo  avec  Mauricette, de ce titre emprunté à  ton fils  ¨ Patxi, tu étais  devenu le « Marchand de Bonheur »
Un bonheur qui allait traverser l’ Atlantique,  quand tu improvisas ce duplex  live entre  ton restaurateur préféré de Manhattan, et du Rivage, Marcel Denamiel, dit « De Caquet » et la sémillante Augustine Bénazet.
En patois de Cominac, et sans traduction simultanée…
En ce jour de France Irlande , l’ hymne aux Barbarians s’ imposait… il fut longuement applaudi…
 Michel, un seul mot empreint de reconnaissance et de sincérité. Un mot partagé par tous.
Merci…

Texte de Jacques Jayles.

 

1 commentaire

  1. Jacques le 18 mars 2014

    Quand il vient en Ariège, quelle que soit la configuration, Michel ne donne pas l’ impression de jouer à l’ extérieur. Ce fut encore flagrant ce samedi à Mazères, où il animait le repas de Génération Mouvement.
    Quelle superbe définition pour parler du Club des Ainés.
    Un cadre rêvé, une décoration soignée, le président Pierrre Massip, semblait marcher sur l’ eau. Louis Marette, le premier magistrat , ne cherchait pas à cacher sa complicité avec l’ artiste.
    Quelques paroles de bienvenue, un « kir » pris à la sauvette, le spectacle, non, le rendez-vous de l’ amitié pouvait commencer.
    Les artistes ont cette faculté d’ oublier, le temps de quelques notes, les petites contrariétés…Mes « emm… » comme dirait Aznavour…En ce samedi ensoleillé, Michel en sera l’ exemple vivant.
    11 h30 : »C’ est une catastrophe. La sono est vaseuse…ses molaires douloureuses…le visage déformé. »
    Quelques bises et accolades plus tard, tout était oublié…
    La fête pouvait commencer…Accompagné de Jean, Raymond et Jean- Philippe, le pseudo « éclopé » sortit le grand jeu.
    De Luis Mariano à Edmond Duplan, du « Refuge », interprété en duo avec Mauricette, de ce titre emprunté à ton fils ¨ Panxi, ode à la vie, il était devenu le « Marchand de Bonheur ».… De Mariano à Moréno…
    Un bonheur qui allait traverser l’ Atlantique, quand il improvisa ce duplex live entre son restaurateur préféré de Manhattan, et du Rivage, Marcel Denamiel, dit « De Caquet » et la sémillante Augustine Bénazet. Peut-être la doyenne de la salle.
    En patois de Cominac…sans traduction simultanée…
    En ce jour de France Irlande , l’ hymne aux Barbarians s’ imposait… il fut longuement applaudi…
    Michel, un seul mot empreint de reconnaissance et de sincérité. Un mot partagé par tous.
    Merci…



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