Son répertoire complet lui permettra de voyager dans le monde entier. Également doté de belles capacités sportives, il fait parler de lui jusqu’en 1982 sur de nombreux frontons, murs à gauche et trinquets. Tout au long de sa carrière de chanteur, il prend aussi le temps de « brosser le décor de chaque chanson basque avant de la chanter ».
Son affection pour Luis Mariano lui permet de se spécialiser dans un registre que plusieurs générations de basques, d’ici et d’ailleurs, aiment à partager. Un partage chanté que Michel Etcheverry entend bien réitérer à Arcangues !